
Jean-Paul Callot
[Jean-Paul Callot*] Le premier avantage qu’offre ISIFoR est sa compréhension du monde industriel qui est aussi aigu que celle du monde académique. La construction, le montage et la mise en route des collaborations se fait de manière naturelle et efficace, ce qui est éminemment appréciable. Qui plus est, l’existence d’interlocuteurs de formation scientifique, à la position stable dans le temps, sont autant d’éléments rassurants et qui permettent de se projeter à chaque instant lors du développement de nouveaux projets. Par ailleurs, l’existence d’une structure permettant le financement de projets innovants est un plus qui permet d’envisager, en complémentarité des projets collaboratifs avec nos partenaires, de proposer de financer des sujets plus borderline ou novateurs, qui peuvent ne pas trouver dès le début du soutien auprès des partenaires.

Peter Moonen
[Peter Moonen**] Faire partie d’ISIFoR est une preuve que notre unité s’engage dans la recherche partenariale avec les entreprises. Cela permet d’être plus crédible si on discute avec un partenaire socio-économique. Ils savent que nous nous engageons professionnellement sur les délais, sur les livrables… autant de points qui créent un cadre solide et rassurant, c’est un élément de plus pour convaincre les partenaires de travailler avec nous.

Corinne Nardin
[Corinne Nardin***] La succession de 2 projets ressourcés par le Carnot ISIFoR que j’ai portés (PEPC (2018) et BAMBA (2021)) m’a permis de me focaliser sur la biocorrosion. Ce soutien sur plusieurs travaux successifs est un vrai plus pour construire une recherche suivie, sur le long terme, ambitieuse. Les avancées permises par ces derniers ont permis de tracer des pistes pour « chercher à décrocher » des financements européens mais aussi ouvrir une collaboration internationale sur le thème de l’encrassement marin.
* Professeur à l’UPPA – Directeur du LFCR
** Professeur à l’UPPA – Directeur de DMEX
*** Professeur à l’UPPA – IPREM
