(FR) Parcours d’une scientifique [Isabelle le Hécho]

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.

” width=”500″ height=”375″ />Je tiens d’ailleurs à souligner ici que dans tous les partenariats je ne travaille jamais seule mais avec des collègues chercheurs ou enseignants-chercheurs et que ce travail d’équipe permet de mettre en commun nos différentes compétences, ce qui rend dynamique nos échanges. Bien sûr, la réalisation des travaux de recherche n’est possible que grâce à l’implication et l’enthousiasme des doctorantes, doctorants, post-doctorantes et post-doctorants avec qui nous développons un vrai travail collaboratif basé sur la confiance et le respect.

Dans les travaux que nous menons, nous avons une totale liberté et les échanges sont très faciles avec nos partenaires industriels. Les projets que l’on développe ont souvent pour objet d’anticiper une problématique : par exemple disposer d’outils de caractérisation fiables, faciles d’utilisation pour l’analyse d’éléments traces présents dans certaines matrices comme le biométhane et ceci dans un contexte de transition énergétique, ou bien d’être capable d’anticiper l’intégration d’énergies gaz décarbonées, comme l’hydrogène et le biométhane, dans les infrastructures gazières existantes… Les échanges avec les industriels nous permettent d’avoir une vision globale du sujet sur lequel nous travaillons, depuis l’échelle laboratoire jusqu’au déploiement sur le terrain. Les approches sont complémentaires. Nous leurs apportons nos compétences dans des domaines pointus et ils nous proposent d’adapter nos travaux à l’échelle du terrain.

[ISIFoR] Aujourd’hui la présence des femmes au sein des personnels enseignants-chercheurs universitaires demeure souvent minoritaire (40%** en 2020), quel message auriez-vous envie de faire passer à des jeunes femmes qui hésiteraient à s’engager dans cette voie ?

Carnot ISIFoR UPPA Isabelle le Hécho science chimie IPREM[Isabelle le Hécho] Je leur dis de ne surtout pas hésiter, qu’elles ont toute leur place et dans tous les domaines scientifiques. Le plus important est que ce soit la voie et le métier qu’elles ont choisi et surtout de ne pas se mettre de barrières ni se préoccuper des stéréotypes ; une femme a toute les capacités et les compétences pour travailler dans les métiers scientifiques au même titre qu’un homme et puis surtout ce sont des métiers passionnants !

 

  • * Science et Techniques pour l’Énergie et l’Environnement
  • ** Source MESRI – cliquez ici.